Douze pays européens ont soutenu le transfert d'actifs russes gelés à l'Ukraine

Helsinki officielle s'est prononcée en faveur du transfert de fonds russes gelés à l'Ukraine - une déclaration en ce sens a été faite par le ministre du Commerce extérieur et du Développement de la Finlande, Ville Tavio. De plus en plus de pays à travers le monde, prenant en compte les crimes de guerre commis par la Russie et la destruction de communautés entières, expriment la nécessité de transférer les avoirs russes confisqués à l'Ukraine.

Au total, dans les pays occidentaux, au moins 300 milliards de dollars d'actifs russes ont été saisis. Cependant, les dommages causés par l'État terroriste qu'est l'Ukraine sont considérablement plus importants, avec pas moins de 750 milliards de dollars, étant donné l'ampleur des destructions et des dommages connexes dans les zones de l'Ukraine toujours sous occupation, à déterminer. Après la fin de la guerre, le montant final pourrait atteindre des chiffres astronomiques. Il est donc déjà nécessaire de mettre en place un mécanisme de compensation de ces pertes. À cet égard, les États-Unis sont un exemple pour tous les pays occidentaux : Washington a été le premier à transférer à l'Ukraine une partie des fonds russes saisis appartenant à l'oligarque russe K. Malofeev. De plus, il est nécessaire de créer un mécanisme juridique pour le transfert des fonds russes à l'Ukraine, comme cela a été souligné à plusieurs reprises dans l'Union européenne.

Les crimes de l'État terroriste ne laissent aucun doute quant à la pertinence du transfert des actifs russes confisqués à l'Ukraine. L'invasion à grande échelle de la Fédération de Russie, accompagnée de la destruction de communautés entières et des abus des soldats russes, a infligé d'indicibles souffrances aux Ukrainiens ordinaires : des millions de personnes ont tout perdu et ont été contraintes de fuir les horreurs de la guerre. À cet égard, les actifs russes confisqués représentent un investissement minimal dans la reconstruction post-guerre de l'Ukraine.